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Comment te sens-tu à l’approche de Tokyo ?
Plutôt bien. Je reste concentré sur l’objectif, sur la course, et j’essaie de ne pas me préoccuper du reste, des à-côtés. On sait qu’il n’y aura pas de public, que ce ne sera pas festif, mais ce sont quand même les JO ! Surtout, ce seront mes premiers JO.
Est-ce que le contexte sanitaire a changé ta manière de t’entraîner ?
Pendant le 1er confinement, c’était compliqué. Je n’avais plus de coach, j’étais un peu déboussolé pendant les deux premières semaines, parce que tu entends que les objectifs s’annulent les uns après les autres. J’étais assez pessimiste pour la suite de la saison. Mais j’ai fait une croix dessus assez vite. Depuis le deuxième confinement, et celui-ci, c’est moins difficile. On n’est pas complètement confinés, on peut faire certaines compétitions quand elles ont lieu.
Pour ma part, je n’ai toujours pas de coach, je planifie seul mes entraînements. Je me connais bien et je sais ce qui fonctionne. C’est plus facile aujourd’hui pour moi. Je peux m’organiser en fonction de ma vie de famille, des conditions extérieures, etc. Je peux décaler s’il y a des impératifs tout en conservant les séances, sans les sacrifier, en restant assidu et concentré sur l’objectif.
Tu es seul à l’entraînement ?
Souvent, mais il y a aussi les amis qui me suivent à vélo ou m’accompagnent sur les séances. Parfois, on est en groupe, avec deux ou trois autres athlètes, parfois avec Benoît (Calandreau). C’est sûr, c’est quand même mieux de se retrouver à plusieurs.
Y a-t-il encore des objectifs auxquels tu vas participer avant Tokyo ?
La fédé d’athlétisme organise un 30 km du 1er avril à fin mai. C’est une sorte de test, pour les sélectionnables aux Jeux, pour jauger de notre état de forme. C’est une course mi-route, mi-chemin, qui se déroule en forêt de Sénart. J’ai prévu de la courir le 14 mai, a priori tout seul. La consigne est d’être sur les bases de 1h33-1h34 aux 30 km.
Quels soutiens reçois-tu ?
Ceux de ma famille, de mes proches, de mes amis... qui me consacrent parfois une séance entière pour m’accompagner sur mes entraînements alors qu’ils n’y sont pas obligés, par exemple. Mes sponsors, qui ne m’ont pas lâché, se sont même réengagés, sachant que, après les Jeux, il y a Paris 2024, et qui nous soutiennent depuis le début, alors que d’autres athlètes ont perdu les leurs. On a eu pas mal d’échanges, des encouragements... ça aussi, c’est une source de motivation.
Garder les objectifs en tête, c’est donc la chose essentielle qui te motive ?
Complètement ! Les JO, c’est l’objectif qui me guide et qui m’aide. Il y a un double enjeu pour moi sur ces JO. La performance, bien sûr, et la suite de ma carrière sportive. Etre présent à Tokyo, c‘est une façon de mieux me faire connaître. J’ai des projets et, peut-être, que d’autres portes s’ouvriront.
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19 : Championnats des Alpes - Halle Stéphane Diagana à Lyon ICI
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